En posant la première pierre d’un mémorial du génocide tatar de Crimée à Kiev, le président ukrainien a affiché sa détermination à «libérer» la péninsule annexée en 2014 par Moscou.
Début mai, cet homme a été reconnu coupable d'avoir «discrédité» l'armée russe et condamné à une amende de 50.000 roubles (environ 507 euros).
"il faut un gant pour prendre la chips et l'avaler" Guerre en Ukraine : sans la Russie, la Crimée deviendra «l'un des meilleurs endroits où vivre en Europe», assure Zelensky Un journaliste américain ...